Mardi 27 septembre 2022, SMART MORNING SOUMIER reçoit Arnaud Col (Chief Innovation Officer, Ippon Technologies) et Geoffray Gruel (Chief Operating Officer, Ippon Technologies)
Ippon Technologies : cinq questions à Arnaud Col et Geoffray Gruel
Respectivement directeur de l’innovation et COO, Arnaud Col et Geoffray Gruel évoquent le développement d’Ippon Technologies, un cabinet de conseil français spécialisé dans la tech, qui part à la conquête du monde.
L’histoire d’Ippon Technologies est liée au sport, pouvez-vous nous la raconter ?
GG : Le créateur de l’entreprise est Stéphane Nomis, ancien judoka français qui a réalisé une belle carrière et qui est désormais président de la fédération française de judo. Le nom Ippon fait d’ailleurs référence au score le plus élevé possible atteint lors d’un combat.
AC : Les valeurs du sport, comme le dépassement de soi et l’entraide, nous guident, c’est très important pour nous. On a d’ailleurs réussi à créer cette dynamique commune à toutes nos antennes, en France et ailleurs. On aime aussi calquer nos objectifs en suivant le calendrier des Jeux Olympiques, on a donc de grandes ambitions pour 2024 !
Pouvez-vous nous présenter votre cabinet ?
GG : Ippon Technologies est un cabinet de conseil français spécialisé dans la technologie. On dénombre aujourd’hui 700 collaborateurs, notamment répartis entre deux gros marchés : la France, avec huit bureaux, et les États-Unis, avec 4 bureaux. Même si aujourd’hui plus de la moitié de notre activité est sur notre territoire, notre plus forte croissance est à l’international où on a cassé la barrière d’entrée aux États-Unis.
Quelles expertises mettez-vous à disposition de vos clients ?
GG : Nous créons de la valeur grâce à nos expertises technologiques, souvent en partant d’une feuille blanche, en proposant énormément de nouveaux services basés sur le Cloud ou l’utilisation de la donnée.
AC : Ce qui nous différencie, c’est notre capacité à réaliser toute la phase en amont du projet, en faisant émerger les besoins métiers puis en proposant de nouveaux produits numériques, avec nos consultants produits, UX, design, etc. On va ensuite développer la stratégie avec nos équipes de développeurs, de data architect ou de cloud engineer.
Quel constat faites-vous de l’utilisation de la technologie aujourd’hui ?
GG : La découverte du digital, c’est fini, on est entré dans la phase de maturité, avec des investissements plus concrets.
AC : On est le fruit de la somme de nos expériences auprès de nos différents clients. D’ailleurs, on travaille déjà sur l'émergence du Web3 puisque nos clients veulent être prêts lorsque celui-ci sera réellement démocratisé. J’ai peu de doute sur le fait que cela va être une révolution extrêmement importante.
Vous vous impliquez également sur d’autres projets humains, pouvez-vous nous en dire plus ?
AC : On est indépendant, ce qui nous permet d’investir sur des projets qui nous tiennent à cœur. Aujourd’hui, avec la Fondation Ippon nous équipons des salles de classe en matériel informatique que ce soit en Afrique, mais aussi en France dans les quartiers prioritaires, où on travaille sur une passerelle de retour à l'emploi chez les jeunes avec des associations de quartier. Ce sont des projets qui font sens pour nous et nos salariés.
