Name: BE SMART, Emission du mercredi 26 janvier
Uploaded: 2022-01-26T17:15:20.537360+01:00
Duration: 58 min 6 s
Description: Mercredi 26 janvier 2022, BE SMART reçoit Bruno Grandjean (Président du directoire, REDEX) , Bénédicte Durand (DG, Altheora) et Christian Saint-Etienne (Économiste, professeur, CNAM)

Une heure de débats et d’entretiens autour des grandes mutations économiques.
Startupper, experts ou grands patrons, ils nous expliquent comment l’actualité économique impacte le développement de leur business et leurs décisions.

BE SMART, l’émission qui donne la parole aux entrepreneurs.

BE SMART

Mercredi 26 janvier 2022, BE SMART reçoit Bénédicte Durand (DG, Altheora), Bruno Grandjean (Président du directoire, REDEX) et Christian Saint-Etienne (Économiste, professeur, CNAM)

L'industrie est en pleine mutation. Les entreprises sont à la recherche de nouvelles technologies pour améliorer leurs processus et leurs produits. De nouveaux modèles d'affaires émergent, tels que l'intelligence artificielle, l'Internet des objets et la robotique. Les entreprises sont à la recherche de moyens innovants pour améliorer leur productivité et leur compétitivité. Elles sont prêtes à investir dans des technologies qui peuvent les aider à atteindre leurs objectifs. Avec ces changements, l'industrie se prépare à une nouvelle ère de croissance et de développement.

La revanche de l'industrie

Longtemps en déclin, l’industrie apparaît déjà comme l’une des grandes gagnantes de la crise sanitaire. Les politiques de réindustrialisation, les aides d’Etat et l’augmentation de la consommation des ménages depuis deux ans, ont entraîné un redressement de l'activité manufacturière. À contrario, le secteur des services est toujours handicapé par les vagues du Covid-19 et les mesures de restrictions gouvernementales (jauges, fermeture des frontières, passe vaccinal…).

La revanche de l’industrie 

Le débat

Le débat du mercredi 26 janvier 2022

La baisse des impôts de production est un sujet qui fait débat. En effet, elle peut être considérée comme une solution pour relancer la compétitivité des entreprises. Cependant, elle peut aussi avoir des conséquences négatives sur l'économie et le budget de l'État. D'un côté, la baisse des impôts de production permet aux entreprises d'investir plus facilement et donc d'accroître leur productivité. De plus, elle peut encourager les entreprises à embaucher plus de personnel et à augmenter leurs salaires. D'un autre côté, elle peut également avoir un impact négatif sur l'État car elle réduit ses recettes fiscales et donc sa capacité à investir dans les services publics. Il est donc important que toutes les parties prenantes soient impliquées dans le processus afin que la baisse des impôts soit bien gérée.

Baisser les impôts de production, une nécessité pour retrouver la compétitivité ?

En 2020, la compétitivité française s'est nettement dégradée. La part des exportations françaises dans la zone euro est maintenant de 3,5% (contre 14,5% auparavant), son plus bas niveau en 20 ans. Pour retrouver de la compétitivité, la baisse des impôts de production est une piste étudiée par le gouvernement. Selon une étude publiée le 15 novembre par l’institut Molinari, réduire les impôts de production de 35 milliards d’euros permettrait à la France de retrouver la moyenne européenne. Cette mesure serait aussi créatrice d’emplois, bénéfique pour les salaires et neutre pour les finances publiques au bout de deux ans.

Baisser les impôts de production, une nécessité pour retrouver la compétitivité ? 

Le sujet du jour

Le sujet du jour du mercredi 26 janvier 2022

Mercredi 26 janvier 2022, BE SMART reçoit Bruno Grandjean (Président du directoire, REDEX) , Bénédicte Durand (DG, Altheora) et Christian Saint-Etienne (Économiste, professeur, CNAM)

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